Mais d'un certain point de vue, ça n'existe pas. Pourtant je me souviens de tout, je crois. Les attentes, les chassages d'idées parce que c'est trop bizarre tout ça, les odeurs, les silences, les sourires les frôlements les moments de lose totale, les boules dans le ventre, l'excitation et puis plus rien. Bim, on m'voit on m'voit plus.
C'est moi qui invente?
Parce que sinon je me demande "tout ça pour ça?", et c'est à peu près drôle.
Mais en fait c'est chiant, la pluie le froid nanterre la dernière chanson de Diam's ("la société est une enclume"==>c'est toi l'enclume. Ou encore "j'ai pris le temps de regarder l'Afrique"==>Euh, ouais cool. Merci à toi)
Attendre puis ne plus attendre puis reprendre la vie normale et se dire que c'est + drôle avec des parenthèses.
La prochaine fois je ferais mieux de me taire/tourner ma langue sept fois dans ma bouche/partir au fin fond de la jungle et attendre que ça passe au lieu de se jeter dedans -mais quelle conne-/ Et j't'en foutrai du blog, si t'es pas content c'est pareil./ Et j'attends que des évidences s'imposent mais ça prend son temps et dieu sait que le temps c'est de l'argent.
C'EST PAS COMME SI J'AVAIS LE CHOIX.
"Is it cuz they like my Gangsta walk? Is it cuz they like my Gangsta talk? Is it cuz they like my handsome face? Is it cuz they like my handsome ways? Whatever it is, they love it and they just won't let me be."
samedi 28 novembre 2009
lundi 9 novembre 2009
Week-end lover /
J'ai toujours vingt trains de retard dans la gueule. Je suis jamais bien réveillée, c'est ça? Je suis bête, mais bête. Maman, ma petite maman, tu fais semblant de pas savoir,d'être aveugle et sourde, tu sens rien non plus?
Mais quelle idiote je fais, à pleurer pour un rien, imaginer des scénarios incroyables, mettre du parfum dans mes cheveux, tout casser. Je casse toujours plein de trucs. Avec raison, parfois sans. Boum, tout d'un coup, plus rien. Quelques traces sur un mur, quelques trucs par terre. C'est vite rangé, vite oublié. Pour Rien. Précisément. Je mérite mon surnom, moi Monsieur. tu sais bien.
Et j'espère que c'est pas grave.
La prochaine fois, c'est moi qui partirai. Ni vue, ni connue. Impérial. Genre hyper maître de soi, tu vois?Le truc que j'ai jamais été capable de faire. C'est pas grave, on est censé apprendre du passé, tout ça? ah oui, c'est vrai,c'est trop facile de dire "blablabla". Ouais mais dans ce cas là, ouvre-là ta gueule. Dis quelque chose, que je sache un peu. Que je sache.
Je crois que l'ignorance, plus que l'oisiveté, est mère de tous les vices.
Et j'espère que c'est pas grave, quand même.
Mais quelle idiote je fais, à pleurer pour un rien, imaginer des scénarios incroyables, mettre du parfum dans mes cheveux, tout casser. Je casse toujours plein de trucs. Avec raison, parfois sans. Boum, tout d'un coup, plus rien. Quelques traces sur un mur, quelques trucs par terre. C'est vite rangé, vite oublié. Pour Rien. Précisément. Je mérite mon surnom, moi Monsieur. tu sais bien.
Et j'espère que c'est pas grave.
La prochaine fois, c'est moi qui partirai. Ni vue, ni connue. Impérial. Genre hyper maître de soi, tu vois?
Je crois que l'ignorance, plus que l'oisiveté, est mère de tous les vices.
Et j'espère que c'est pas grave, quand même.
mercredi 4 novembre 2009
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