mercredi 12 mai 2010
DOG TOYS.
C'est quand tu veux la fin du calvaire. Mais je commence à comprendre -je sais- que ça n'existe pas, que ç'est le produit de mon imagination, de souvenirs pourris, jaunis, usés de les avoir ressassés. Je ne me noie plus dedans, j'aperçois la rive (yves)(Bonnefoy) . Maintenant je vois, que la montagne a accouché d'une souris, et tu vois c'est complètement taré je viens de comprendre cette expression à l'instant en la disant. Tout ça n'aura pas été en vain.
Tu sais, c'est juste que parfois, le hasard (y'a pas de hasards, c'est vrai) met sur mon chemin des trucs tous nuls qui me rappellent des moments moins nuls quand même et je me dis "merde", c'était quand même vrai. Tout porte à croire que ça n'a pas existé et pourtant je n'invente rien, les mots sont là devant mes yeux. Je les vois comme je te vois (par hasard seulement) mais enfin même si je comprends la réalité des choses parce que je suis quand même un être humain doué d'un minimum de lucidité, je ne comprendrai jamais comment on fait pour passer de l'existant à l'inexistant, du trouble à l'inconnaissance (non ça n'existe pas tg), du vivant au fossile, une vieille preuve à deux balles retrouvée au hasard d'une promenade sous un vieux caillou tout pourri qui explique l'évolution de l"humanité. mais t'es même pas un fossile, le fossile au moins, il apporte une explication. Putain de merde je ne comprends pas. Je ne comprends pas et je t'emmerde (mais j'avais dit que j'arrêtais d'emmerder les gens mais on sait bien que j'emmerde pas vraiment vraiment).je m'en fous tu sais je m'en fous si tu savais comme je m'en fous.
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